Monaco-Boulogne-Levallois : un choc qui fait chic, et chac, et ping, et boom et PAF !

Il y a des matchs clés dans une saison, et pour sûr cette rencontre contre Boulogne-Levallois, longtemps seul dauphin de l’ASVEL, en était une. La Roca Team devait conserver son invincibilité à domicile, taper la dernière équipe française à s’être imposé à Gaston Médecin, et montrer ses muscles pour s’installer seule sur le second strapontin du championnat. Et ce triple objectif fut réalisé, et de fort belle manière. Une victoire propre, sans aucune contestation, avec une vraie performance constante durant 40 minutes, voilà la Roca Team à sa vraie place, nichée dans le fondement de l’ogre lyonnais, avec moult arguments à faire valoir.

Le résumé du match

Les notes, en bref…

L’homme du match : Dee Bost :Si le début du match fut sous le signe de Norris Cole, qui a donné le tempo et sortit ses « cojones » d’entrée de jeu, sur la durée de la rencontre, c’est bien Dee Bost qui s’est montré le plus incisif. Partition champagne à trois points sur la truffe de son plus grand fan, Stephen Brun, drives incisifs et supersoniques pour des lay-up à la cuillère, caviars distribués au kilo, le Dee Bost de la fin de saison dernière semble poindre à nouveau le bout de son nez. Et le fait que Paul Lacombe et Norris Cole à ses côtés prennent plus de volume niveau responsabilités ne sont pas étrangers à ce retour de flamme plus que bienvenu.

Bref, Dee Bost, depuis qu’il n’a plus la casquette de leadeur, est redevenu un leadeur.

Le « chimichanga alerte » : Le petit déjeuner de Landing Sané : Qu’a donc bien pu manger Landing Sané dimanche matin avant le match ? Car pour sûr, on en veut tous ! Il a tout bonnement été incroyable. Qu’importe les tirs qu’il prenait, ça rentrait. Depuis le corner, depuis la piscine, depuis le P3, depuis la salle d’escrime… Landing était en feu ce soir. Profitant grassement du jeu imprimé par ses coéquipiers, du spacing créé, et des ballons qu’on lui a apportés sur un plateau, il sort là son meilleur match en rouge et blanc, et emmagasine un sac de confiance fort bienvenue.

Bref, elles sont passées où les rumeurs de transferts ?

Le « pas top » du jour : Paul Lacombe : Paul et les fautes, c’est un tango qui ne date pas d’hier. À vouloir parfois trop en faire (ou parfois synonyme d’une certaine nervosité), il est souvent sanctionné, et ça lui a déjà flingué pas mal de rencontres par le passé. Mais là, on est quand même tombé sur une séquence d’arbitrage un peu douteuse. 3 fautes sifflées en 20 secondes, alors qu’il n’en avait pas fait une seule auparavant, c’est extrêmement sévère, surtout quand certaines actions ne sont pas sanctionnées pour les autres, par exemple. Puis la 4e est du même tonneau, ce qui lui a complètement plombé sa rencontre, le laissant sur le banc un bon bout de temps.

Bref, il y a surement là un axe de progression encore pour notre bronzé préféré.

On se retrouve très vite

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